À l'entrée du chemin de la Mauresque, dans les "hauts de Citre", une villa aux dimensions surdimensionnées, non autorisée encore, est déconnectée dans ce quartier par son architecture qui ne répond pas au style du bâti catalan.
Le versant de la colline de Coma sadulle tourné vers la plage de l'Oli est impacté jusqu'à sa crête par une urbanisation excessive.
Le lieu dit "Pont de l'amour" ne respecte pas la continuité, ni la densification des constructions. Il s'étire et s'allonge d'année en année.
Sur le piémont du Cap Béar, qui jette son pied dans l'eau du port, est prétenduement un ensemble exceptionnel parfaitement intégré dans un décor méditerrannéen.
La villa prévue à la Mauresque serait installée à proximité de la crique dans la bande des 100 m : urbanisation excessive, voire outrancière, "artificialise" les sols : c'est la cause première des inondations et non les intempéries exceptionnelles, pluies torrentielles, chute de pierres....argument qui dédouane les responsables de ces "bétonisations".
Une urbanisation excessive, voire outrancière, "artificialise" les sols : c'est la cause première des inondations et non les intempéries exceptionnelles, pluies torrentielles, chute de pierres....argument qui dédouane les responsables de ces "bétonisations".